L’atelier a débuté par la présentation du projet Ocean i3, les points clés qui le définissent et les compétences qui sont travaillées. Il s’est ensuite poursuivi par la présentation des sept acteurs socio-économiques participants (Conseil provincial de Gipuzkoa, Surfrider, MATER, Kutxa Ekogunea, Gaia, Rivages Protect et TEO) ainsi que les défis qu’ils proposent (8). Les élèves ont également eu le temps de se présenter et d’apprendre à se connaître au sein du groupe.
Lors de l’introduction du workshop un schéma a été projeté présentant les clés du projet, les compétences mobilisées et le processus à mettre en oeuvre. Les traductions simultanées en basque, français, espagnol et anglais ont été réalisées en utilisant le tchat de la plateforme.
Défis proposés pour cette année :
- SURFRIDER : Découvrez la pollution marine à travers nos rivières et aidez-nous à trouver des solutions.
- DIPUTACIÓN FORAL DE GIPUZKOA : Sport responsable et durable
- GAIA et RIVAGES PROTECH : parvenir à un environnement sans plastique dans la réserve de biosphère d’Urdaibai qui encourage l’émergence de nouvelles opportunités économiques et d’économie circulaire pour cette zone qui implique les utilisateurs finaux : citoyens, entreprises locales, etc.
- MATER :
- Création d’un réseau d’acteurs impliqués dans la préservation et la protection de la mer le long des différents bassins fluviaux de Gipuzkoa.
- Ekopatruilak : Écoactivation à partir des communautés et pour les communautés.
- Seabin Pasaia : Etude et suivi des déchets marins dispersés dans la baie de Pasaia.
- T.E.O. : Comment mobiliser les citoyens sur un dispositif d’alerte après tempête « un coup de vent, un coup main » et ainsi gagner en efficacité en collectant le plus possible de déchets marins dans les bacs à marée essaimés le long du littoral en collaboration avec des équipes en insertion.
- KUTXA EKOGUNEA : Analyse et action communicative sur les jardins urbains, les habitudes de consommation et la réduction de la pollution plastique.
Après la présentation de tous les participants, une première séquence de travail a été réalisée pour prendre connaissance et enrichir le défi proposé. Les étudiants ont posé des questions sur le défi, puis les acteurs socio-économiques y ont répondu. Ils ont ensuite eu quelques minutes pour réfléchir aux opportunités, aux propositions et aux limites du défi, et pour partager leurs réflexions en équipe. Dans la deuxième séquence de travail, les étudiants ont convenu avec l’acteur socio-économique des aspects du défi sur lesquels chacun allait se concentrer, et de ce que chacun pouvait apporter en fonction de son profil disciplinaire.
Les acteurs socio-économiques ont présenté les défis en plénière. La traduction simultanée a été faite par le biais du tchat de la plateforme Gather.
Grâce à la coopération et à l’engagement de tous les participants, une atmosphère de collaboration et de diversité a été générée. Une fois de plus, la politique linguistique a été présentée, qui comprend des suggestions et des outils pour la gestion des langues dans cette communauté. En outre, les différences linguistiques et culturelles ont enrichi le projet, ce qui a été possible grâce aux étudiants en traduction et interprétation de la Faculté de Lettres de l’UPV/EHU. Durant l’atelier, ils ont aidé à la compréhension orale et écrite grâce à l’interprétation et la traduction simultanée dans le chat, ce qui a rendu viable la communication entre les étudiants de différentes langues.
L’atelier, qui s’est tenu sous format virtuel, s’est déroulé par le biais de la plateforme Gather qui a rassemblé l’ensemble de la communauté Ocean i3. Pour les séquences de travail en groupe, Google Slides a été utilisé pour rassembler toutes les contributions des différentes équipes dans un seul document.
